Depuis quelques temps déjà des articles de presse publiés par le très socialiste journal "La Provence" faisaient état de détournements de fonds au préjudice du Conseil Général et du Conseil Régional des Bouches du Rhône. Curieusement ces articles restaient très évasifs sur les montants détournés ainsi que sur les protagonistes de cette affaire.
Pourtant, pareille affaire se passant sous leur nez auraient du attirer leur attention. On connait le zèle dont font preuve ces enquêteurs quand il s’agit de découvrir le lieu de vacance du Président de la République ou encore la marque de sa montre. Mais là RIEN, Nada, Nib. Tout au plus nous "informent-ils " que deux fonctionnaires seraient en garde à vue.
La Provence du 30/01/2009 clic
La Provence du 03/02/2009 clic
La Provence du 18/02/2009 clic
Il aura donc fallu attendre hier et la publication de l’enquête d’Hervé Gattegno journaliste au point pour enfin y voir un peu plus clair et à la lumière de cet article on peut se demander si certains journaux ne pratiqueraient pas une autocensure protectrice des intérêts d’une certaine élite politico administrative prodigue en subventions déguisées en publicités de toutes sortes.
Cette enquête est révélatrice des méthodes et de la compassion socialiste pour l’immigration et en particulier au soutien aux immigrés en situation irrégulière. On comprend mieux la compassion socialiste pour le communautarisme, leurs batailles quotidiennes pour le logement social, leur soutien sans faille aux associations de tous bords.
Tout ceci n’est que clientélisme électoral qui leur permet une fois en place de s’emparer du pouvoir et de durer en s’appuyant sur ces relais d’opinions acquis (financièrement) à leur cause.
Je vous conseille l’article de Hervé Gattegno, l’excellent article devrais-je dire. Pour ma part j’arrête le commentaire ici en ajoutant peut-être une question :
Ça ne vous rappelle rien ??? Alors lisez l'article du Point
Allez, bon courage mes agneaux, continuez à vous faire manger la laine sur le dos en fermant les yeux, il est vrai que l’affaire se passe à Marseille.
Erebus