Oui je sais le titre est un peu racoleur et n’a rien à voir avec le sujet, mais après cette interruption il me fallait absolument faire remonter mon blog rank et je n’ai rien trouvé de mieux pour booster les connections.
Bon allez, pour me faire pardonner je te mets une image de fesses ici.
Je t’ai manqué ?
Au nom de la France je te présente mes excuses pour t’avoir lâchement abandonnés durant quelques jours.
En fait j’ai voulu vérifier une définition du dictionnaire, plus précisément la définition du mot "BEFFROI" cher à notre ami Rolinet, sa sublimité l’architecte en chef missionné par le kremlin pour la création des futures ruelles du centre ville.
Que dit le dico ?
Beffroi : ouvrage de charpente destiné à supporter et à permettre de faire mouvoir des cloches.
Tout le monde le sait à pâques les cloches vont à Rome ! Pas toutes, certaines sont restées à Annemasse, immobiles faute de beffroi. Enfin quand je dis immobiles, faut voir, car plusieurs de ces saloperies ont profité de mon absence pour pourrir mon jardin avec des œufs en chocolat que ma fille et ma chienne se sont empressées de ramasser et de piétiner et le chocolat ça tache les baskets. Saleté de cloches !!!
Je me suis donc rendu à Rome pour vérifier.
Avant toute chose je dois balayer l’idée reçue selon laquelle les cloches se rendent à Rome le jour de pâques, c’est des conneries ! J’ai bien regardé dans le ciel et je t’assure que je n’ai vu aucune cloche voler. Ah si je tenais le con qui fait courir ce bruit ! Par contre à Rome il y a plein d’églises surmontées de beffrois et c’est là que se cachent les cloches, elles y sont même fermement attachées, des fois qu’elles se barrent, pas cons les romains.
Finalement, après avoir fait le tour des monuments romains je me dis que cette idée de beffroi n’est pas si mauvaise que ça. Imaginez un beffroi en béton armé dans lequel on enfermerait toutes nos cloches, quel bonheur !
Allez Rolinet, active ta pompe à béton et construis nous un joli beffroi qu’on enferme nos cloches !!!
Avec tout ça je n’ai pas eu le temps de visionner la totalité des images du précédent conseil, il y a pourtant des moments croustillants : le joli banc d’Eric m&m’s, le repas d’Agnès, le DICRIM à Gilou, les beaux tableaux au Dédé, le compromis de vente à Dudu etc… Chose promise chose due, je vais m’y atteler et mettre en ligne ces images.
En attendant mon long voyage de retour m’a permit de m’interroger sur un point de ce conseil.
Pourquoi Dudu a-t-il refusé de transmettre une copie du compromis de vente des terrains du Brouaz à Louis Mermet qui en faisait la demande ?
C’est étrange tout de même !
Ne s’agit-il pas d’un document public ? Y a-t-il quelque chose à cacher ?
A moins que ce compromis ne soit assorti de conditions suspensives trop/très favorables à la Générale de Santé, je pense par exemple à la condition suspensive d’obtention d’une subvention de plusieurs dizaines de millions d’Euros, ce qui reviendrait à faire payer par le contribuable le terrain et la plus grande partie des bâtiments, tout ça avec la bénédiction à Dudu.
Ainsi, si on n’obtient pas cette subvention, tu vas te faire voir toi et ta clinique et par contre si on l’obtient on construit puis on revend les bâtiments à une société de portage, les bénéfices servant à payer le matériel et les à côtés. Tout bénef pour le subventionné, qui sans mettre un cent, se retrouve propriétaire d’un outil neuf et flambant que la sécurité sociale financera pendant des décennies.
A moins qu’il n’y ait autre chose.................de PIRE !!!
Erebus